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Audio-guide

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Bienvenue dans cette nouvelle audio-lettre.

Cette semaine je voudrais te partager des pistes de réflexion autour d’un mécanisme qui opère souvent à ton désavantage, c’est celui de la comparaison.

 

Mais avant cela, j’aimerais te redonner la raison d’être de ce support audio et de mes lettres de façon plus générale.

 

En fait, j’accompagne, en tant que coach certifiée, des mamans ayant vécu un deuil périnatal et qui font appelle à moi pour retrouver l’énergie et le désir de réinvestir leur vie, que ce soit en se projetant dans une grossesse future ou de tout autre manière.

Et ma vision du deuil, celle que je t'offre dans chacun de mes contenus, est une vision d’apprentissage, un événement de vie qui, "force" notre capacité à nous montrer résilient.

Et je note que plus on s’accroche à notre souffrance mentale, qui se traduit par des questionnements qui n’appellent aucune réponse, ou par des ruminations incessantes, moins on n’a d’espace en soi pour expérimenter une résilience naturelle, celle qui permet de s’adapter à une nouvelle réalité et de développer des compétences particulières pour faire face à l’adversité.

 

A ce stade je voudrais préciser ce que j’entend par douleur du vécu de deuil, versus ce que je met derrière la souffrance du vécu en question et dont je viens de mentionner certaines des caractéristiques.

 

Pour moi la douleur, ici émotionnelle et même physique, est inévitable.

Elle fait partie de l’expérience humaine et elle est intrinsèquement liée à ton vécu.

Le manque, la tristesse , la colère parfois, le sentiment d’injustice, la culpabilité, sont rarement optionnelles.

 

La souffrance, c’est quelque chose que tu crées, le plus souvent sans même t’en rendre compte.

La souffrance résulte souvent du sens que tu donnes à l’expérience émotionnelle et physique que tu es en train de faire. La souffrance c’est l’histoire que ton cerveau, toujours en quête de sens, tisse autour de tes ressentis.

Une histoire qui cherche des responsables et dont tu deviens la coupable toute désignée  lorsque tu n’en trouve finalement aucun à l’extérieur de toi-même... Une histoire qui t’amène beaucoup de questions auxquelles tu ne trouvera pas ou peu d’éléments de réponses; une histoire dans laquelle ton corps est à présent un ennemi qui doit se racheter... Un vécu auquel tu résistes à coup de « ça ne devrait pas, ça n’aurais pas du, j’aurais du, je devrais »…etc..

Cette souffrance dont je parle, c’est tout le récit optionnelle que ton esprit élabore et qui diffère autant qu’il dure et se répète, ton accès à tes capacité d’accueil de ce qui est, d’acceptation et d’adaptation à cette nouvelle donne de ta réalité.

 

Cette souffrance, en fait, c’est ce qui ajoute des couches supplémentaires à la douleur émotionnelle dont tu fais déjà l’expérience.

 

Mon intention, dans la mise en lumière des mécanismes qui activent et entretiennent la souffrance et dont la comparaison fait partie, est de t’aider ici, de semaines en semaines, à identifier ce qui crée une souffrance optionnelle. Ce qui te bloque d’accéder à une forme d’acceptation plus douce à vivre. D’identifier ce qui t’empêche, également, de reconnaitre les éclaircis sur le chemin, et de les accueillir en pleine ouverture.

De noter tout ce qui t’empêche de vivre, de renouer avec du plaisir.

 

Si tu te fermes en entendant mes mots, si tu sens une forme de résistance, c’est magnifique car c’est une information précieuse, ton corps te traduit ce que tu n’as pas encore porté à ta conscience, que « ce n’est pas là ou j’en suis », « c’est trop tôt », ou encore « je suis attachée à ma souffrance ». Et c’est ok.

 

Peut-être que, au contraire, toi, tu sens dans ton corps que ça s’ouvre. Que tu accèdes à une forme d’apaisement, de soulagement même. Cela peut vouloir dire que tu es prêtes.

Prêtes à honorer ce lien sans que la souffrance n’est d’emprise ou du moins, plus un totale emprise sur la manière dont tu le préserves.

Arrêter de souffrir ne veut pas dire aimer moins, oublier.

S’attacher et le rester ne veut pas dire souffrir de l’attachement en question.

Tu peux continuer d’aimer, dans la joie, la gratitude, l’amour, sans souffrance.

Avec la peine, la tristesse, la culpabilité, la colère, quand elles se manifestent mais sans croire qu’elles résument toute l’histoire, alors qu’elles n’en sont qu’une partie.

 

J’ajoute d’ailleurs que la reconnaitre dans ton vécu du deuil, peu importe où tu te trouves de ton cheminement, c’est te mettre en posture de pouvoir les identifier avec plus de clarté dans ta vie au global. Dans ta sphère du couple, dans ton vécu de la grossesse d’après, dans ta parentalité présente ou future. Car tout est dans tout. Nos sphères de vie ne sont pas hermétiques et la manière dont on fonctionne dans l’une est souvent la manière dont on fonctionne dans toutes.

Si ces mots résonnent comme un appel à lâcher-prise, mon accompagnement 1:1 d'une durée de 3 mois est fait pour toi.

Contacte-moi ici ou on se retrouve sur mon instagram.

La comparaisonDiana coaching
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